Les saynètes
Les saynètes sont des petits dialogues entre les personnages en dehors de l'histoire principale et ne sont donc pas obligatoire. Elles peuvent être déclenchées en appuyant sur le bouton C après certains évènements du jeu, et contrairement au premier ToS elles sont maintenant rapides et doublées.
Pour que vous puissiez tous les relire à votre guise, je vous les recopierais et les mettrais toutes ici.
Hurlement lointain
Emil : Pourquoi ai-je l'impression que les monstres m'appellent ? C'est à cause de ce genre de choses que les gens disent que c'est ma faute si des monstres continuent à apparaître. Je ne dois pas y prêter attention ! C'est simplement mon imagination ! Mais c'est difficile à ignorer.
En colère ?
Emil : Ce type était vraiment incroyable. "Es-tu un chien ou es-tu vraiment un homme ?". Je ne pourrais jamais dire une chose pareille à quelqu'un. Il serait furieux. Une seconde... C'est peut-être moi qui devrais me mettre en colère.
Lac Sinoa
Emil : Si je veux rejoindre le lac Sinoa, il faut que je sorte de la ville. Je n'ai jamais quitté seul la ville. Je me demande si tout se passera bien. Maman, fais que je ne tombe pas sur des monstres.
Une étrange fille
Emil : Je me demande si cet homme est toujours en ville. Il serait probablement content que je lui parle de cette fille, Marta. Mais, c'est bizarre. Elle avait l'air de me connaître. Est-ce que je l'ai déjà rencontrée ? Je crois que je me souviendrais d'une jolie fille comme elle. Elle doit me confondre avec quelqu'un d'autre. Ouais, c'est sûrement ça...
La faute de Lloyd
Emil : Qu'est-ce que je dois faire ? Oncle Alba était vraiment furieux. Je me demande s'il va de nouveau me frapper. Qu'est-ce que je dois faire ? J'ai peur. J'aurais vraiment mieux fait d'ignorer le hurlement de ce monstre. Si Lloyd n'avait pas attaqué Palmacosta, je n'aurais pas à vivre tout ça !
Essayer de suivre
Richter : Eh, essaie de suivre.
Emil : Je suis désolé.
Richter : Tu peux me dire pourquoi tu marches devant moi ?
Emil : Pardon.
Richter : Eh.
Emil : Désolé.
Richter : Je ne suis pas en colère contre toi.
Richter est quelqu'un de bien ?
Richter : Alba y est allé fort. Pourquoi ne lui as-tu pas répondu ?
Emil : Je suis désolé.
Richter : Tu as réagi de la même manière avec ces gamins, en ville. Ces brutes ne te laisseront jamais tranquille si tu ne leur tiens pas tête. Tu comprends ? Rien ne changera jamais si tu acceptes tout.
Emil : Je suis désolé.
Richter : Qu'est-ce que je t'ai dit à propos des excuses ?
Emil : Oh, c'est vrai.
Richter : Je ne te fais pas de reproches. C'est ta vie, fais-en ce que tu veux. Mais ne sois pas toujours aussi soumis. Aie un peu plus de caractère.
Emil : (Je n'arrive pas à savoir si Richter est gentil ou pas.)
Le voir pour le croire
Emil : Je me demande si je peux y arriver.
Tenebrae : Tu le peux. Je suis certain que tu peux sauver Dame Marta. Tu dois croire en tes pouvoirs de chevalier de Ratatosk.
Emil : Mais, je...
Tenebrae : Les humains ont un dicton : "Il faut le voir pour le croire."
Emil : Je ne pense pas qu'il puisse s'appliquer ici. En tout cas, merci, Tenebrae. Je vais faire de mon mieux.
Seules les Ténèbres...
Emil : Eh bien, Tenebrae, on dirait que j'ai de nouveaux vêtements.
Tenebrae : Je vois que tu l'as enfin remarqué. Je me demandais quand tu soulèverais la question.
Emil : (Je l'avais immédiatement remarqué, mais je n'ai jamais trouvé le bon moment pour en parler.)
Tenebrae : Ces vêtements, ainsi que l'anneau de sorcier, symbolisent ton pacte avec le Seigneur Ratatosk. Il est crucial pour un chevalier de Ratatosk d'arborer une tenue d'une certaine prestance.
Emil : C'est vrai.
Tenebrae : La trame du tissu renferme de nombreux sortilèges et incantations... qui rendent cette tenue imperméable et infroissable et assurent sa résistance aux moisissures. La coupe proprement dite symbolise le courage inné et la grâce subtile du Seigneur Ratatosk. L'effet en est presque hypnotisant.
Emil : Une seconde. J'ai une autre question.
Tenebrae : Oui ?
Emil : Que sont devenus les vêtements que je portais ?
Tenebrae : Ce sont les Ténèbres qui... Désolé, oublie ce que je viens de dire.
Emil : "Les Ténèbres qui" quoi ?... Eh, allez ! Tante Flora va me dépecer vivant si je ne remets pas la main sur ces vêtements !
Tenebrae : Seules les Ténèbres savent où ils sont.
Bravo
Emil : Ce monstre s'est joint à nous ?
Tenebrae : Bravo ! Magnifique ! Fantastique ! Tout simplement excellent ! Je dois reconnaître que je suis impressionné.
Emil : C'est vrai ?
Tenebrae : Mais, bon, ce monstre est parfait pour les débutants. Si tu avais échoué, je me serais inquiété.
Aucun pardon
Emil : Saleté de Lloyd. Comment a-t-il pu faire ça à Richter ? D'abord, il m'enlève mes parents, et maintenant il blesse Richter ! Je ne le laisserai pas s'en tirer comme ça !
Homme masqué
Marta : C'est le masque de Lloyd. Il est probablement inspiré par cette pièce, "Le fantôme de l'opérette".
Emil : Tu crois ? Ça me rappelle plutôt "D comme dispute".
Marta : C'est celle avec les frères jumeaux dont l'un est roi et qui échangent leurs places à la fin ?
Emil : Non, ça, c'est "Le masque d'aluminium". Comment peux-tu confondre les deux ?
Tenebrae : Je ne sais absolument pas de quoi vous parlez.
É-mule
Emil : Dis, Marta, à propos de ce Ratotax...
Marta : C'est Ratatosk, pas Ratotax.
Emil : Oh, d'accord. Alors, pour ce Rattatax.
Tenebrae : Son nom est Ra-ta-tosk.
Emil : Quelle différence ça fait ?
Tenebrae : Quelle différence ? C'est intolérable ! Que dirais-tu si quelqu'un t'appelait É-mule ?
Marta : En fait, mon É-mule est un curieux mélange de force et de soumission.
Tenebrae : Bravo, Dame Marta, bien joué.
Emil : (Me voilà tout de suite plus renseigné au sujet de Ratatosk.)